Je vous remercie beaucoup, Élie, de m’avoir posé cette Question (notamment parce que j’avais déjà moi-même très envie d’y apporter une Réponse).
Je pense que, pour y apporter la meilleure Réponse, il me faut aborder à la fois :
- La présomption « pater is est … »
et - la circoncision.
En effet, vous l’avez peut-être déjà compris, ce que je désire montrer est qu’il y a opposition entre :
- le principe des Droits de l’Homme au sens générique et au singulier, afin de n’établir aucune discrimination et de constater qu’il s’agit de Droits Naturels et afin de constater que ces Droits dans l’intérêt individuel ne peuvent pas être en oppositions avec les droits de la société
- le principe juridique aujourd’hui dénaturé de la présomption « pater is est … » et la pratique ancienne de la circoncision qui, l’un comme l’une nient les Droits de l’Homme au sens générique et au singulier et s’appuient sur une idée monstrueuse car contre Nature et selon laquelle il pourrait y avoir opposition entre la préservation des Droits Naturels d’un individu et l’intérêt collectif de la société dans son ensemble.
J’aurais pu y ajouter d’autres éléments de droit mais cette présomption sera suffisante pour montrer que le droit est toujours contre-Nature et donc faux, chaque fois qu’il fait primer le collectif sur l’individuel.